
Les deux missions de suivi des activités se sont déroulées dans un contexte tout à fait complexe. Si à Matadi (partie Ouest) le climat est plus ou moins apaisé, à Bukavu (partie Est), par contre, la population est pratiquement restée suspendue à l’évolution de la situation sécuritaire et humanitaire en ébullition au Nord-Kivu, notamment avec la reprise des hostilités sur les lignes de front, les marches pacifiques et autre « ville morte » pour appeler la Brigade internationale de la MONUSCO à plus d’action contre les groupes armés…