Martin Kobler: «Tous les groupes armés doivent cesser d’exister au Katanga et en RDC»

(Radio Okapi)

Le représentant spécial du secrétaire général de l’Onu en RDC, Martin Kobler, a rappelé jeudi 23 janvier que «tous les groupes armés doivent cesser d’exister au Katanga et en RDC». Il s’exprimait à Kalemie au cours de la cérémonie de remise des médailles aux troupes du 7e  bataillon du contingent béninois, arrivées à la fin de leur mission.

«C’est inacceptable parce qu’une province comme le Katanga doit être maitrisée par le gouvernement. Il faut consolider l’autorité de l’Etat ici, et il n’y a pas de droit d’existence des groupes armés. Notre contingent est ici pour renforcer ce message au Katanga », a indiqué le patron de la Monusco.

Plusieurs groupes armés sévissent dans le Katanga, semant l’insécurité au sein des populations civiles. Comme le reconnaît d’ailleurs le chef de la Monusco :

« Et je sais, on a des troupes des FDLR pas loin d’ici, on a les Kata-Katanga, on a d’autres groupes Maï-Maï. C’est inacceptable », a souligné Martin Kobler.

Les miliciens indépendantistes Bakata Katanga, par exemple, ont incendié du 17 au 21 janvier environ 600 maisons dans une vingtaine de localités du territoire de Pweto (Katanga). Des destructions qui ont visé notamment des écoles et des structures sanitaires.

Le représentant spécial du secrétaire général de l’Onu en RDC, Martin Kobler, a rappelé jeudi 23 janvier que «tous les groupes armés doivent cesser d’exister au Katanga et en RDC». Il s’exprimait à Kalemie au cours de la cérémonie de remise des médailles aux troupes du 7e  bataillon du contingent béninois, arrivées à la fin de leur mission.

«C’est inacceptable parce qu’une province comme le Katanga doit être maitrisée par le gouvernement. Il faut consolider l’autorité de l’Etat ici, et il n’y a pas de droit d’existence des groupes armés. Notre contingent est ici pour renforcer ce message au Katanga », a indiqué le patron de la Monusco.

Plusieurs groupes armés sévissent dans le Katanga, semant l’insécurité au sein des populations civiles. Comme le reconnaît d’ailleurs le chef de la Monusco :

« Et je sais, on a des troupes des FDLR pas loin d’ici, on a les Kata-Katanga, on a d’autres groupes Maï-Maï. C’est inacceptable », a souligné Martin Kobler.

Les miliciens indépendantistes Bakata Katanga, par exemple, ont incendié du 17 au 21 janvier environ 600 maisons dans une vingtaine de localités du territoire de Pweto (Katanga). Des destructions qui ont visé notamment des écoles et des structures sanitaires.

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A propos de l'auteur : Adeline Marthe

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